Savinienne pose son front contre la vitre ; l’humidité dessine un ovale sur le carreau.
Au dehors, il pleut, des torrents, des trombes. Les gouttes qui dégoulinent se reflètent sur le visage fané, sa peau semble parcheminée de larmes intarissables qui serpentent sur ses joues, coulent sur ses épaules, se répandent jusqu’à ses pieds.
Savinienne se décrit par l’intersession des éléments et toute chose liquide s’acharne à mimer son désarroi. Un frisson la parcourt ; le froid de la vitre, le froid de la vie.
Au dehors, il pleut, des torrents, des trombes. Les gouttes qui dégoulinent se reflètent sur le visage fané, sa peau semble parcheminée de larmes intarissables qui serpentent sur ses joues, coulent sur ses épaules, se répandent jusqu’à ses pieds.
Savinienne se décrit par l’intersession des éléments et toute chose liquide s’acharne à mimer son désarroi. Un frisson la parcourt ; le froid de la vitre, le froid de la vie.
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