Écritures, billets, nouvelles, contes, brachygrammes, poésies, prosoésies, ludilemmes, romans...

Découvrez les lalbehyrinthes, partez en exploration, perdez-vous éventuellement… Chacun d’eux possède une issue, mais chaque sortie conduit irrémédiablement vers un nouveau dédale. Les textes s’imbriquent et tissent une toile dont le motif général pourrait être le mien, ou celui de tout autre personnage, selon mon humeur. Bref, la vérité est – sans doute – ailleurs, ou ici, ou nulle part.

dimanche 9 octobre 2016

Lalbehyrinthes est mort, vive Łálßєħўrιnтђeș !

Je cesse aujourd’hui d’alimenter ce blog de toute façon déserté depuis deux ans. D’autres textes s(er)ont à suivre sur Łálßєħўrιnтђeș - successeur moins rouge que son devancier.

Le printemps passe

Les oiseaux crient

Les yeux des poissons portent des larmes
(Bashō Matsuo)
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