Nuitamment, je rôde parmi les taches obscures des rues.
Y trouverai-je les proies de mes humeurs assassines ?
Ce sont elles que j’épie, elles que j’attends, elles qui s’éteignent dans un craquement délicat.
Tant de cadavres jonchent ma route ; mon tableau de chasse s’accroît et je m’enorgueillis.
Aucune victime n’en réchappe.
Les corps sont à ma merci et, tremblants, me supplient au cœur de l’effroi.
Or, la pitié est un sentiment que j’ignore !
Peut-on jouir autant de la terreur qu’on inspire que du plaisir de tuer ?
« Evidemment ! » répondraient tous les chats.
Y trouverai-je les proies de mes humeurs assassines ?
Ce sont elles que j’épie, elles que j’attends, elles qui s’éteignent dans un craquement délicat.
Tant de cadavres jonchent ma route ; mon tableau de chasse s’accroît et je m’enorgueillis.
Aucune victime n’en réchappe.
Les corps sont à ma merci et, tremblants, me supplient au cœur de l’effroi.
Or, la pitié est un sentiment que j’ignore !
Peut-on jouir autant de la terreur qu’on inspire que du plaisir de tuer ?
« Evidemment ! » répondraient tous les chats.
2 Comments:
Je t'ai déjà dit à quel point j'aimais cette phrase?
Ce sont elles que j’épie, elles que j’attends, elles qui s’éteignent dans un craquement délicat.
Ouais! Tu l'as déjà dis, je m'en souviens moi!
(mais t'as raison, alors...)
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