La série « Dura Lux sed Lux » se propose de réaliser des prosoésies, paraphrases personnelles de photographies de Loretta Lux. Une unique contrainte hormis la brièveté du texte : que chacun d’eux inclue un néologisme ou autre mot-valise.
« The rose garden»
Hélas, nulle rose n’est unique ! Mais le mensonge perdure, déjà au temps du Prince… Que n’effleure tes cheveux une lueur – un tendre désappointement.
Et ta moue, et tes lèvres pulpérines, empourprées de doute et de désillusion.
Et ta joue, douce, parfumée de l’odeur du pétale.
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