Silence relatif, des odeurs étranges caressent mes narines, tantôt suaves, tantôt râpeuses. Étrangement, la tempête a laissé place à un calme étale ; le temps s’y étire avec obstination, les minutes sans fin s’écrasent telles des gouttes.
Au centre, par ses craintes délimitée, une silhouette se transporte, mime la vie, imite tant bien que mal les mouvements de la naissance. Puis cesse tout geste, dans un attentisme muet, essence même de la procrastination. Sont-ce les Nornes qui, par sagesse ou par jeu, me contraignent à l’immobilité ?
Au centre, par ses craintes délimitée, une silhouette se transporte, mime la vie, imite tant bien que mal les mouvements de la naissance. Puis cesse tout geste, dans un attentisme muet, essence même de la procrastination. Sont-ce les Nornes qui, par sagesse ou par jeu, me contraignent à l’immobilité ?
1 Comment:
J'aime bien cette série... j'ai l'impression d'y être...
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