On dit que de deux mots, il faut choisir le moindre ; mais de deux choix ?
Alors, je me débats dans les décisions – ou leur absence – je me contorsionne en tous sens, cherchant l’idéale solution, celle où rien n’est besoin d’être lâché ; la solution qui n’existe pas, bien entendu. Et moi qui les abhorre, je me noie sous les poncifs, autant de phrases convenues comme « trop heureux pour partir, trop malheureux pour rester », misère, misérable. Deux propositions contradictoires qui me posent sur les épaules quelques quintaux d’angoisse, qui tarabustent mon estomac, qui étiolent mes nuits.
Pourtant, il suffirait d’un mot, d’un premier mot…
Alors, je me débats dans les décisions – ou leur absence – je me contorsionne en tous sens, cherchant l’idéale solution, celle où rien n’est besoin d’être lâché ; la solution qui n’existe pas, bien entendu. Et moi qui les abhorre, je me noie sous les poncifs, autant de phrases convenues comme « trop heureux pour partir, trop malheureux pour rester », misère, misérable. Deux propositions contradictoires qui me posent sur les épaules quelques quintaux d’angoisse, qui tarabustent mon estomac, qui étiolent mes nuits.
Pourtant, il suffirait d’un mot, d’un premier mot…
1 Comment:
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Redis-le moi, ça va toi hein?
Des trucs comme ça, j'ai toujours l'impression que c'est réel... je sais, pas mélanger, "je" est un autre... mais j'aime qu'on me le répète.
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