Écritures, billets, nouvelles, contes, brachygrammes, poésies, prosoésies, ludilemmes, romans...

Découvrez les lalbehyrinthes, partez en exploration, perdez-vous éventuellement… Chacun d’eux possède une issue, mais chaque sortie conduit irrémédiablement vers un nouveau dédale. Les textes s’imbriquent et tissent une toile dont le motif général pourrait être le mien, ou celui de tout autre personnage, selon mon humeur. Bref, la vérité est – sans doute – ailleurs, ou ici, ou nulle part.

vendredi 20 août 2010

Alternative

On dit que de deux mots, il faut choisir le moindre ; mais de deux choix ?
Alors, je me débats dans les décisions – ou leur absence – je me contorsionne en tous sens, cherchant l’idéale solution, celle où rien n’est besoin d’être lâché ; la solution qui n’existe pas, bien entendu. Et moi qui les abhorre, je me noie sous les poncifs, autant de phrases convenues comme « trop heureux pour partir, trop malheureux pour rester », misère, misérable. Deux propositions contradictoires qui me posent sur les épaules quelques quintaux d’angoisse, qui tarabustent mon estomac, qui étiolent mes nuits.
Pourtant, il suffirait d’un mot, d’un premier mot…

1 Comment:

Chrysopale said...

...

Redis-le moi, ça va toi hein?
Des trucs comme ça, j'ai toujours l'impression que c'est réel... je sais, pas mélanger, "je" est un autre... mais j'aime qu'on me le répète.

Le printemps passe

Les oiseaux crient

Les yeux des poissons portent des larmes
(Bashō Matsuo)
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